Selon le Dr Raphaël Gaillard, psychiatre et chef de clinique à Saint-Anne auteur de plusieurs recherches en neuro-imagerie, « c’est un champ expérimental important mais on est encore loin du passage à la clinique en routine ». En France, les blocages se situeraient principalement au niveau de l’absence d’études ayant des effectifs suffisants « mais aussi de personnels formés à l’imagerie fonctionnelle plus compliquée que l’imagerie anatomique ». Seule l’unité de réanimation chirurgicale de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, dirigé par le Pr Louis Puybasset, a recours à la neuro-imagerie pour estimer si l’état de conscience d’un patient justifie que l’on puisse lui consacrer des soins très agressifs. On y traite cependant essentiellement des patients pendant la phase aiguë, et non ceux dans le coma depuis une longue période.
Une technique encore expérimentale en France Abonné
Publié le 17/04/2014
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9319
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