Laure Adler : « A ce soir » (Gallimard).
L'auteur évoque la mort de son fils, une douleur toujours à vif même après la naissance de deux autres petites filles.
Jean-Luc Benoziglio : « la Pyramide ronde » (Le Seuil).
L'histoire de Pharaon et de son règne de - 1350 à - 1335 revisités avec humour et érudition.
Raphaële Billetdoux : « De l'air ! » (Albin Michel).
D'avoir croisé le regard d'un homme au marché change la vie monotone d'une femme ; son mari et son entourage mettent en cause le traumatisme de son dernier accouchement.
Janine Boissard : « Charlotte et Millie » (Laffont).
A la mort de son père, une femme décide de sauver l'entreprise familiale et de reconquérir le fauteuil de maire, au détriment peut-être de sa vie familiale.
Françoise Bourdin : « l'Héritage de Clara » (Belfond).
La suite de la saga d'une grande famille bourgeoise victime d'un lourd et douloureux secret, entre Paris et la Provence, de 1967 à 1978.
Catherien Breillat : « Pornocratie » (Denoël).
Un huis clos entre une femme et un homosexuel est l'occasion d'une approche des fantasmes qui aimantent l'un vers l'autre deux sexes discordants.
François Cérésa : « Marius ou le fugitif » (Plon).
La suite de « Cosette ou le temps des illusions », suite des « Misérables ».
Muriel Cerf : « la Femme au chat » (Actes Sud).
Comment un couple branché et néanmoins tranquille se désagrège quand le mari ramène un chien dans le foyer où régnait le chat Pupe.
Madeleine Chapsal : « Deux femmes en vue » (Fayard).
Deux amies et un homme, passion et déchirements.
Hélène Cixoux : « Benjamin à Montaigne : il ne faut pas le dire » (Galilée).
Une réflexion sur leur identité par deux surs juives nonagénaires.
Marie Darrieussecq : « Bref séjour chez les vivants » (POL).
Un voyage au cur des consciences d'un couple maintenant séparé et de leurs trois filles désormais dispersées, après la mort d'un enfant de trois ans.
Michel Del Castillo : « les Etoiles froides » (Stock).
Après des études aux Etats-Unis, la fille d'un riche diplomate installé en Suisse, retourne en Espagne, son pays natal.
Régine Detambel : « la Chambre d'écho » (Le Seuil).
Apprenant qu'il n'a plus que quelques mois à vivre, un homme décide de disparaître et impose à sa femme de vivre leur amour par téléphone.
Pierrette Fleutiaux : « Des phrases courtes, ma chérie » (Actes Sud).
Les derniers moments de la vie de sa mère partagés et racontés par sa fille, la narratrice.
Michèle Gazier : « le Fil de soie » (Le Seuil).
Odile est créatrice de mode, Odon est son amant ; ensemble, ils tissent les fils de leur passion.
Alain Gerber : « Jours de brume sur les hauts plateaux » (Fayard).
Mis à la retraite pour cause de conquête accomplie en Cochinchine, deux officiers s'efforcent de démontrer que le danger continue d'exister.
Isabelle Hausser : « la Table des enfants » (Ed. de Fallois).
Une femme, auteur de thrillers, se rend en Allemagne à la mort de sa fille pour ramener ses petits-enfants à Bruxelles où elle vit avec son nouveau mari et ses autres enfants ; elle ne refera pas le voyage retour.
Catherine Hermary-Vieille : « la Bourbonnaise » (Albin Michel).
Une biographie haute au couleurs de Jeanne Bécu, future comtesse du Barry, amante de Louis XV.
Vénus Khoury-Ghata : « le Privilège des morts » (Balland).
De retour dans son île natale après vingt ans d'absence, une femme se trouve aux prises avec des personnages morts ou disparus, qui errent entre le passé et la folie, le songe et la réalité.
John La Galite : « la Femme du colon français » (Plon).
Alors qu'elle est mariée à un riche colon installé en Algérie, une jeune femme tombe amoureuse d'un médecin ; la mort lui semble la seule échappatoire possible.
Luc Lang : « les Indiens » (Stock).
Le combat d'un homme qui se réveille sur un lit d'hôpital avec les jambes et le bassin paralysés, pour se tenir à nouveau debout.
Catherine Lépront :
« le Café Zimmermann » (Le Seuil).
De la difficulté d'aimer en même temps Bach et un musicien d'un orchestre régional, soumis aux vicissitudes de la vie quotidienne des institutions culturelles en province.
Guillaume Le Touze :
« Tu rêves encore » (Actes Sud).
Un homme brusquement abandonné par sa femme qui emmène leur fille de huit ans, par ses amis et ses associés, part dans le sud de la France pour tenter de refaire sa vie.
Richard Millet :
« la Voix d'alto » (Gallimard).
Un musicien issu de la paysannerie corrézienne et une femme médecin irlando-québécoise s'interrogent sur l'art, l'amour et la sexualité hérités d'autres cultures ou de la culture d'un temps passé.
Richard Morgièvre :
« Deux mille capotes à l'heure » (Pauvert).
Un roman dit pulsionnel mais pudique.
Eric Neuhoff :
« Un bien fou » (Albin Michel).
Abandonné par sa femme après qu'ils ont rencontré en voyage un célèbre auteur américain, un jeune homme plonge dans le chagrin, puis dans le désir de vengeance.
Lorette Nobécourt :
« Equarissage » (Métropolis).
Une réflexion sur la vie, commencée par l'auteur en 1966, alors qu'elle était hantée par le suicide.
Amélie Nothomb :
« Cosmétique de l'ennemi » (Albin Michel).
Un retard d'avion met un homme d'affaires aux mains d'un raseur professionnel, Textor Textel, qui de fil en aiguille avoue de véritables crimes.
Jean d'Ormesson :
« Voyez comme on danse » (Laffont).
Les vies et les destins croisés de personnages présents à l'enterrement d'un des leurs, de 1925 à nos jours.
Eric Orsenna :
« la Grammaire est une chanson douce » (Stock).
Une promenade au pays des mots pleine d'humour et de poésie où les règles les plus strictes deviennent sympathiques.
Daniel Picouly :
« Paulette et Roger » (Grasset).
Un père, une mère et douze enfants : de quoi alimenter le troisième tome de la saga familiale de l'auteur.
Yann Queffélec :
« le Veau d'or » (Laffont).
Un homme en proie à des hallucinations après un voyage en mer se tourne vers un médecin pour comprendre ce qui lui arrive et pourquoi son passé semble revenir le narguer.
Nathalie Rheims :
« les Fleurs du silence » (Flammarion).
Au lieu de prendre connaissance des mots que lui a écrits son père au seuil de la mort, sa fille se rend au chevet du défunt et l'interroge.
Alain Robbe-Grillet :
« la Reprise » (Minuit).
En 1949, à Berlin, un agent subalterne des services de renseignements français est chargé d'une mission dont il ne connaît ni les tenants ni les aboutissements.
Marie Rouanet :
« Du côté des hommes » (Albin Michel).
De la compatibilité du monde intérieur des femmes et du monde extérieur des hommes.
Jean-Christophe Rufin :
« Rouge Brésil » (Gallimard).
L'histoire de la conquête du Brésil à travers le destin de deux enfants représentant deux conceptions opposées de l'homme et de la nature.
Eric-Emmanuel Schmitt :
« la Part de l'autre » (Albin Michel).
L'auteur imagine ce que la vie d'Hitler aurait été si le jeune Adolphe avait été reçu aux Beaux-Arts et n'avait pas eu besoin de pratiquer la politique comme un art par défaut.
Shan Sa :
« la Joueuse de go » (Grasset).
De l'art et la manière d'ignorer la guerre, lorsqu'on est une jeune fille de 16 ans dans la Mandchourie occupée en 1939 par l'armée japonaise, en jouant au go, place des Mille-Vents.
Yves Simon :
« la Voix perdue des hommes » (Grasset).
Dans l'anonymat de Paris, un jeune prêtre sans paroisse, prend le temps d'écouter les autres, de les confesser et de leur pardonner.
François Taillandier :
« le Cas Gentile » (Stock).
Pourquoi le héros d'hier - Gentile est pompier à Turin - est-il devenu un an plus tard l'auteur d'actes de violence dérisoires ?
Marc Trillard :
« Campagne dernière » (Phébus).
La nouvelle vie tranquille d'un médecin en rupture de société et qui s'est réfugié sur un modeste îlot des Tropiques, est bouleversée par l'arrivée d'un nouveau préfet à l'âme dirigeante.
Jean Vautrin :
«l' Homme qui assassinait la vie » (Fayard).
Un roman noir dans lequel un détective privé sans moralité se confronte à un assassin moraliste.
Marina Vlady :
« Ma cerisaie » (Fayard).
L'auteur, qui est une Poliakov, raconte la traversée du siècle de quatre générations de femmes de sa famille, nobles de naissance et d'éducation.
François Weyergans :
« Trois jours chez ma mère » (Grasset).
Le jour de ses cinquante ans, un homme décide de tout changer ; il part quelques jours chez sa mère.
Alain Woodrow :
« le Pape a perdu la foi » (Le Félin).
Enlevé et lobotomisé, le dernier pape avan la fin du monde, selon une tradition, rédige une encyclique consacrée à la propagation de l'athéisme.
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