Une équipe de chercheurs israéliens* a montré que le taux des récepteurs D3 à la dopamine, au niveau des lymphocytes sanguins circulants, est plus élevé chez les schizophrènes que chez les témoins. Ces premières données ne permettent pas de conclure quant à la corrélation entre le nombre de récepteurs et l'intensité de la maladie, ni l'influence de la progression de la maladie. Tous ces faits devront être précisés par de nouvelles recherches cliniques. Selon le Dr Ilani, principal investigateur de cette étude, la détermination de l'ARNm des récepteurs D3 au niveau des lymphocytes périphériques pourrait, à l'avenir, être utilisée comme un marqueur périphérique de la schizophrénie et aider au diagnostic précoce.
* « Proc Natl Acad Sci USA », vol. 98, n° 2 : 625-628 du 16 janvier 2001.
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