L’hôpital se révèle meilleur élève que la ville. On enregistre en effet une baisse significative des consommations hospitalières si l’on prend pour référence le début de période. Mais aucune tendance ne se dégage au cours des dernières années. Si l’on prend pour critère la population globale, la consommation est stable. En revanche elle est en augmentation lorsque l’on la rapporte au nombre de journées d’hospitalisation. En première instance, ce dernier paramètre parait le plus pertinent. Mais son interprétation doit être nuancée par la prise en compte de la réduction constante des durées de séjours hospitaliers. Enfin et sans surprise, les CHU et les hôpitaux des armées consomment davantage d’antibiotiques que les autres établissements hospitaliers. Les services de psychiatrie et de long séjour se distinguent par une consommation réduite.
Une consommation en baisse à l’hôpital
Publié le 06/12/2014
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Source : Décision Santé: 299
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