Au lieu d'importer des médecins européens dont la qualification est parfois aussi douteuse que la pratique de notre langue et dont l'intégration est le plus souvent aléatoire, pourquoi ne pas envisager des « 'passerelles » avec quelques années complementaires de formation pour ces vocations medicales exclues mais persistant dans leurs desirs de soins et qui ont suivi de solides etudes (pharmaciens, dentistes, infirmiers, sage-femmes ou même osteopathes et, pourquoi pas, veterinaires, après vérification de leur cursus).
Une alternative au déficit
Publié le 13/09/2013
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Dr Jean Marie Maze, Trélazé (Maine-et-Loire)
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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