Les infections respiratoires basses, mais aussi hautes, sont associées à un risque plus élevé d’infarctus du myocarde (IDM), dans le mois qui suit l’infection. C'est le résultat d'une étude rétrospective porte sur 578 patients hospitalisés pour un IM et qui ont répondu à un questionnaire sur leurs symptômes respiratoires avant l'événement cardiaque. Selon les résultats publiés dans l’« Internal Medicine Journal », 17 % ont rapporté une infection respiratoire (mal de gorge, toux, fièvre, douleur, symptômes grippaux ou diagnostic de pneumonie ou bronchite) dans les sept jours précédant l’infarctus. Pour 21 % d'entre eux, l'infection respiratoire était survenue dans les 31 jours précédant l'infarctus. Le risque était 17 fois plus élevé que chez les patients n’ayant pas présenté d’infection respiratoire avant leur IDM. Ces résultats soulignent l’importance des mesures de prévention, en particulier de la vaccination.
Infections respiratoires
Un risque d'infarctus multiplié par 17
Publié le 18/12/2017
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Source : Le Quotidien du médecin: 9628
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