Depuis lundi, le ministère de la Justice fait procéder à des relevés d'empreintes génétiques dans quatre pénitenciers. Il s'agit d'alimenter le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), prévu par la loi du 17 juin 1998. Le FNAEG doit être utilisé pour les viols, les agressions sexuelles, les atteintes ou les corruptions de moins de 18 ans, les exhibitions et la commercialisation d'images pornographiques d'enfants. Il sert à cataloguer les condamnés définitifs et consigne les traces génétiques prélevées sur les lieux d'agression ou les victimes. Relevant de l'autorité du procureur général de la cour d'appel de Paris, il est géré par la police technique et scientifique, basée à Ecully (Rhône). Le stockage des prélèvements d'ADN, d'une durée de quarante ans, incombe à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).
Un relevé d'empreintes génétiques dans quatre prisons
Publié le 21/10/2003
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7409
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