Le gouvernement norvégien a remis à Jacques Rogge, président du Comité international olympique (CIO), un plan de lutte antidopage en dix points. Il suggère notamment que tous les athlètes ayant délibérément consommé des produits interdits soient exclus, dès le premier contrôle positif, des entraînements et des compétitions pour un minimum de deux ans. « La lutte antidopage aurait pu être plus ferme plus tôt, y compris lors des derniers jeux Olympiques », a déclaré le Premier ministre Kjell Magne Bondevik lors d'une conférence de presse. Les personnels techniques et les officiels ayant volontairement contribué au recours à des substances dopantes devraient aussi être démis de leurs fonctions, indique le texte. Un système devrait en outre permettre à l'Agence mondiale antidopage (AMA) d'être en mesure de localiser à tout moment l'endroit où se trouvent les athlètes de haut niveau de tous les pays.
Aucune mention n'est faite en revanche d'une éventuelle privation de tous leurs titres pour les athlètes contrôlés positifs. Ce point oppose actuellement le CIO à sa branche norvégienne, qui réclame que les sportifs coupables de dopage, tels les fondeurs espagnol Johann Muehlegg et russes Olga Danilova et Larissa Lazutina, soient déchus de toutes leurs médailles, et non uniquement celles gagnées avant le contrôle.
Un plan antidopage norvégien
Publié le 18/03/2002
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7089
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