Non, la Sécu et les médecins ne sont pas forcément condamnés à s’affronter sur les génériques ! En témoigne le travail mené de concert par la Cnamts et le Collège de la médecine générale afin de repérer les difficultés et les besoins rencontrés par les professionnels de santé sur le terrain, d'identifier les leviers d'amélioration potentiels et d’imaginer des outils de communications tant médicaux que grand public les plus adaptés.
Quatre tables rondes ont été organisées qui soulignent les doutes qui persistent dans l’esprit du grand public et des praticiens quant à la bioéquivalence et la qualité des génériques, le poids des prescriptions hospitalières initiales rarement faites en DCI et l’indispensable cohérence dans le discours sur le générique des différents professionnels de santé. Les difficultés engendrées par la multiplicité des marques, des formes, des couleurs, disponibles pour un même type de molécule ont été aussi évoquées.
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