Les anti-histaminiques H1 représentent le principal recours thérapeutique pour les rhino-conjonctivites allergiques puisqu’ils sont prescrits dans 91,7 % des cas. Les recommandations de l’ARIA (Allergic Rhinitis and Its Impact on Asthma) les propose dans tous les cas d’allergie. Ces dernières années ont vu les efforts thérapeutiques porter essentiellement sur l’amélioration de la tolérance des molécules antihistaminiques mises sur le marché, notamment en termes de sédation, d’interférences alimentaire et médicamenteuse et de tolérance cardiaque. L’inorial (Bilastine®) qui a un effet antagoniste sélectif sur les récepteurs H1 périphériques répond à cette exigence. L’inorial agit rapidement (dès la première heure) et durablement (plus de 24h), il n’interfère pas avec le métabolisme hépatique et ne présente aucune interaction médicamenteuse.
Pas de somnolence
Il n’induit aucun effet sédatif et n’affecte pas les performances pour la conduite des véhicules : son étui ne comporte aucun pictogramme de mise en garde. Il n’existe enfin aucun trouble de la repolarisation cardiaque (pas d’allongement de l’espace QTc) – même à des doses 10 fois plus élevée que la posologie efficace qui est de 20 mg/j. Seule l’administration concomitante de bilastine et d’inhibiteur de la P-glycoprotéine est à éviter chez les patients ayant une insuffisance rénale modérée à sévère. L’excellente tolérance de la bilastine est alliée à une efficacité antiallergique comparable à celle des meilleurs antihistaminiques H1 de deuxième génération actuellement disponibles. A la posologie d’un comprimé unique de 20 mg par jour à distance des repas, la bilastine soulage efficacement les symptômes nasaux et oculaires de la rhinite allergique et ceux de l’urticaire dès le premier jour de traitement et améliore significativement la qualité de vie des patients.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature