Pour sensibiliser, il faut des formules claires et des images qui « parlent » et qui marquent ; c'est ce que s'est efforcé de faire Pfizer avec une image de synthèse en relief qui nous « jette » véritablement au visage les acteurs de l'athérosclérose, au cours d'un voyage au cœur de l'artère.
On visualise ainsi les étapes qui conduisent à l'infarctus : rôle des facteurs de risque, remodelage et rétrécissement de l'artère, rupture de la plaque qui peut produire un thrombus non occlusif symptomatique, ou à un thrombus occlusif qui signe l'accident vasculaire. Une autre séquence du film suit un caillot qui finit par obstruer une artère carotidienne, provoquant l'AVC.
Au cours de ce bref voyage dans l'athérogenèse, on découvre les nombreux facteurs, acteurs mais aussi témoins (épaisseur intima-media, CRP...) de ce processus lent, sournois mais aux conséquences dramatiques. Pour bien convaincre de cette réalité, le film associe au « choc des photos », le poids des mots et des chiffres : chaque année, dans le monde, 14,8 millions de personnes décèdent de maladies cardio-vasculaires, soit l'équivalent d'un pays comme le Chili. En France, environ 100 000 infarctus surviennent annuellement, soit l'équivalent d'une ville comme Perpignan. L'athérosclérose est également responsable de la survenue de 80 000 AVC, soit l'équivalent du stade de France.
Pfizer cardio-vasculaire, la volonté d'avoir toujours un temps d'avance
Le film « L'athérogenèse, voyage au cœur de l'artère » illustre la volonté de Pfizer de jouer un rôle majeur de la cardiologie, en développant notamment des services innovants : information régulière du corps médical sur les dernières découvertes scientifiques, en utilisant les technologies et techniques les plus pédagogiques, même quand elles sont de pointe.
Le partenariat avec le corps médical peut revêtir bien d'autres formes, souligne Frédéric Ehrard, comme « L'Académie de médecine générale en pathologie cardio-vasculaire » créée avec le Collège national des généralistes enseignants, notamment pour mieux diffuser les recommandations officielles.
Mais la qualité du partenariat avec le corps médical passe d'abord par la qualité des molécules mises à sa disposition et des activités « Recherche et développement ». C'est le cas pour Tahor, leader sur le marché des dyslipidémies et qui fait l'objet d'un programme de développement ambitieux : plus de 40 000 patients sont actuellement inclus dans des essais portant notamment sur le diabète de type 2 (Aspen), le post-AVC (SPARCL), sans oublier l'étude TNT qui, sur 10 000 patients, a pour objectif de vérifier la justesse de l'adage « Lower is better ».
Amlor, médicament commercialisé depuis déjà dix ans, bénéficie d'une recherche tout aussi active avec près de 70 000 patients inclus dans des essais de morbi-mortalité (ALLHAT, ASCOT, CAMELOT, NORMALISE...), qui représentent une étape-clé dans le développement d'un produit qui a déjà largement fait ses preuves.
Mieux motiver les patients
Enfin Pfizer s'est donné pour objectif d'aider le corps médical en participant activement à la motivation du public pour la lutte contre le risque cardio-vasculaire : amélioration de programmes éducatifs encore trop peu efficaces , campagne de dépistage sur le terrain et, en particulier, sur les marchés du Val-de-Marne (dans le cadre de cette collaboration avec la CPAM du département, les généralistes gèrent les résultats de ce dépistage élargi).
(1) Conférence de presse organisée par les Laboratoires Pfizer.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature