Le laboratoire français du fractionnement et des biotechnologies (LFB) détenu à 100 % par l’État français, qui a remporté voici deux ans un appel d’offres pour construire en Arabie Saoudite une usine de fractionnement plasmatique, est sur le point de passer à la phase opérationnelle du projet. Le montant du contrat, non communiqué, est estimé à environ 200 millions d’euros.
Le ministre saoudien de la Santé, le Dr Abdullah Al Rabeeah, s’est rendu le 7 novembre au siège du LFB aux Ulis (Essonne), et a visité le site de fractionnement plasmatique du laboratoire.
Il s’agit d’une étape décisive, car dans ce richissime pays du golfe persique, ces appels d’offres ne se concrétisent qu’une fois obtenu l’aval formel du gouvernement.
La visite officielle du président François Hollande en Arabie Saoudite, programmée pour le printemps 2014, pourrait être l’occasion de finaliser ce projet.
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