Soixante pour cent des personnes interrogées considèrent que les troubles de l'érection sont un véritable problème de santé, ce qui prouve qu'ils ne sont plus perçus comme un sujet marginal ou une triste fatalité. Par ailleurs, la prévalence de ces troubles paraît élevée puisque 28 % des hommes interrogés déclarent avoir eu des problèmes de ce type, au moins de manière occasionnelle (il est à noter que seulement 17 % des femmes interrogées ont enregistré de tels troubles chez leur partenaire : indulgence, méconnaissance... ?).
Une attitude positive
On est aussi frappé par l'opinion franchement positive des Français vis-à-vis du traitement de ces troubles puisque 73 % d'entre eux estiment qu'aujourd'hui les troubles de l'érection se traitent très bien (sans différence notable entre les sexes). De la même manière, 78 % estiment que ces traitements sont de nature à améliorer la vie sexuelle de la population. Plus précisément, environ un tiers des personnes interrogées pense qu'elles-mêmes ou leurs partenaires seraient susceptibles de se traiter (39 % des hommes et 28 % des femmes), le pourcentage étant plus élevé dans les tranches d'âge moyen (45 % des 25-34 ans et 36 % des 35-44 ans) que chez les jeunes (22 %) ou chez les sujets de plus de 60 ans (17 %).
On peut donc dire que près de la moitié de la population âgée de 25 à 60 ans n'exclut pas de recourir au traitement des troubles de l'érection.
Les tabous sont loin d'avoir disparu
Mais, à côté de ces données positives, l'enquête IPSOS montre que le caractère tabou des troubles de l'érection est loin d'avoir disparu, 83 % des personnes interrogées estimant que les hommes souffrant de tels troubles n'osent toujours pas consulter. De fait, seuls 3 % des hommes déclarent avoir déjà eu recours à un traitement des dysfonctions érectiles et surtout ce pourcentage n'est que de 10 % chez les hommes ayant déclaré des antécédents de troubles de l'érection. A noter que le médecin généraliste habituel est désigné comme le référent préféré par une majorité d'hommes (67 %) devant les spécialistes (48 %).
Outre le tabou, le manque d'information contribue à la mauvaise prise en charge de ces troubles, 45 % des personnes interrogées seulement jugeant cette information suffisante.
La sécurité d'abord
En ce qui concerne les caractéristiques recherchées du traitement, c'est la sécurité qui apparaît logiquement comme le critère prioritaire (80 %). Vient ensuite la rapidité d'action, critère jugé très important par 42 % des personnes interrogées et assez important par 30 % (les hommes et les jeunes).
La possibilité de prendre le médicament à n'importe quel moment ou de pouvoir le prendre plusieurs fois par jour sont des critères mentionnés moins souvent.
La réponse d'Ixense
En mettant Ixense (chlorhydrate d'apomorphine) sur le marché, les Laboratoires Takeda ont conscience de répondre aux préoccupations des patients et de leur conjoint : en effet, outre son efficacité évaluée sur la capacité à obtenir une érection suffisamment rigide pour accomplir un acte sexuel, Ixense se caractérise par sa rapidité d'action (de 18 à 19 minutes et par une bonne tolérance, en particulier cardio-vasculaire (aucun infarctus du myocarde ou AVC lié au traitement n'a été observé, à ce jour, dans les essais cliniques). Ixense procure donc une grande sécurité d'emploi dans le respect des contre-indications et précautions d'emploi mentionnées dans l'AMM, notamment chez les patients prenant des antihypertenseurs ou des dérivés nitrés.
(1) Enquête réalisée par IPSOS Santé les 23 et 24 novembre 2001 auprès de 940 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de plus de 18 ans.
Session organisée avec le concours des Laboratoires Takeda, avec la participation des Drs Marie-Hélène Colson (Marseille et Montpellier) et Sylvain Mimoun (Paris).
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