En partant du schéma général, « trois options sont possibles pour orienter le choix, propose Michel Marre, si l’on considère le poids, le risque d’hypoglycémies ou le coût. Chez un diabétique en surpoids qui grossit, il vaut mieux éviter au départ l’insuline et les sulfamides. Si le sujet est âgé et à risque d’hypoglycémies il faudra utiliser avec précaution les molécules qui en provoquent, et privilégier les inhibiteurs DPP-4 et les analogues des récepteurs du GLP-1. Enfin, dans un système avec des ressources économiques limitées, « il ne faut pas oublier qu’il y a des médicaments qui coûtent cher et d’autres beaucoup moins, en général les plus anciens ». Quant à l’insulinothérapie, les modalités thérapeutiques devraient inclure de l’insuline basale, avant d’aller vers des stratégies par insulines complexes, souvent en combinaison à un ou deux médicaments non insuliniques.
Trois modalités d’association
Publié le 15/06/2012
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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