Si l’on envisage une trithérapie sans insuline - à considérer avec prudence vu les risques d’effets secondaires et d’interactions - il faut impérativement utiliser des antidiabétiques présentant des mécanismes d’action complémentaires. « Certaines études ont montré l’intérêt d’ajouter un troisième médicament autre que l’insuline à une bithérapie… De façon non surprenante, cependant, la réponse la plus efficace à ce stade sera, en général, le passage à l’insuline. Si on choisit la trithérapie, le patient doit être suivi de façon rapprochée, avec la nécessité de reconsidérer rapidement cette approche si celle-ci se révèle inefficace. Un élément de décision essentiel est bien sûr l’utilisation d’agents aux mécanismes d’action complémentaires. Augmenter le nombre de médicaments augmente le risque d’effets secondaires et d’interactions médicamenteuses, accroît les coûts et affecte négativement l’observance du patient » (1).
Trithérapies sans insuline : attention
Publié le 05/11/2012
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9184
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