« L’argent de la santé » : nous avons choisi ce thème pour CHAM 2016 (Convention on Health Analysis and Management) car la relation des Français avec l’argent dans le domaine sanitaire est ambivalente, dans le pays des Droits de l’Homme où l’accès à la santé constitue une priorité.
La santé, année après année, s’affirme comme l’un des secteurs économiques les plus porteurs d’avenir dans les laboratoires de recherche comme dans l’industrie pharmaceutique.
Par ailleurs, l’intégration des données sociales aux actions médicales engagées doit nous faire réviser nos modes de pensée et d’intervention obsolètes et inutilement coûteux, voire iatrogènes.
L’OCDE évalue à au moins 30 % les prestations inutiles, des arrêts de travail indus aux prescriptions médicales inadaptées et aux actes inutiles en passant par la multiplicité des agences, commissions, hauts conseils et autres instituts… qui doublonnent. Il y a donc une marge de manœuvre considérable qui pourrait servir à restructurer l’offre.
Alors que les grandes entreprises numériques américaines, Google, Facebook, IBM, Microsoft et Amazon viennent d’officialiser la création du « Partnership on Artificial Intelligence to Benefit People and Society » (« partenariat pour l’intelligence artificielle au bénéfice des citoyens et de la société ») et pris une initiative éthique, nous ne pouvons que regretter l’absence de débat politique, à l’approche des présidentielles, sur ces questions de santé et de protection sociale.
Dans ce contexte, CHAM 2016 relève le défi de la création d’un système sanitaire innovant qui, en utilisant toutes les ressources du progrès, ne laisse personne de côté et d’une véritable politique de santé responsable, reposant sur la performance des prestations dans la confiance entre les acteurs.
La santé, année après année, s’affirme comme l’un des secteurs économiques les plus porteurs d’avenir dans les laboratoires de recherche comme dans l’industrie pharmaceutique.
Par ailleurs, l’intégration des données sociales aux actions médicales engagées doit nous faire réviser nos modes de pensée et d’intervention obsolètes et inutilement coûteux, voire iatrogènes.
L’OCDE évalue à au moins 30 % les prestations inutiles, des arrêts de travail indus aux prescriptions médicales inadaptées et aux actes inutiles en passant par la multiplicité des agences, commissions, hauts conseils et autres instituts… qui doublonnent. Il y a donc une marge de manœuvre considérable qui pourrait servir à restructurer l’offre.
Alors que les grandes entreprises numériques américaines, Google, Facebook, IBM, Microsoft et Amazon viennent d’officialiser la création du « Partnership on Artificial Intelligence to Benefit People and Society » (« partenariat pour l’intelligence artificielle au bénéfice des citoyens et de la société ») et pris une initiative éthique, nous ne pouvons que regretter l’absence de débat politique, à l’approche des présidentielles, sur ces questions de santé et de protection sociale.
Dans ce contexte, CHAM 2016 relève le défi de la création d’un système sanitaire innovant qui, en utilisant toutes les ressources du progrès, ne laisse personne de côté et d’une véritable politique de santé responsable, reposant sur la performance des prestations dans la confiance entre les acteurs.
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