Autre axe de recherche : définir des phénotypes de patients arthrosiques, afin de leur donner un traitement plus ciblé, et peut-être plus précoce. Comme le dit Jean-Pierre Pelletier (Montréal), "la prise en charge de l'arthrose devrait tenir compte aussi des mécanismes physiopathologiques". Il est en effet possible d’identifier divers phénotypes : post-traumatique chez les sujets jeunes -lié à un stress mécanique avec généralement l'atteinte d'une seule articulation- ; métabolique et souvent "généralisé", chez les personnes d'âge moyen où s'associent stress mécanique, anomalies du métabolisme lipidique et glucidique, déséquilibres œstrogène/progestérone ; l’arthrose du senior par sénescence chondrocytaire touchant plusieurs articulations ; enfin l'arthrose d'origine génétique liée au sexe. Selon le phénotype, différentes structures sont touchées et l’on pourrait alors avoir, avec les nouvelles molécules à venir, une prise en charge plus ciblée.
Traiter selon le phénotype d'arthrose
Publié le 20/04/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2601
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature