Coup de gueule, avis d’expert, coup de cœur ou témoignage... La rédaction du « Quotidien » distingue chaque semaine un ou plusieurs commentaires, parmi les centaines postés au fil des jours par les lecteurs internautes.
Les gynécologues n'ont pas été épargnés par la campagne #PayeTonUterus, lancée spontanément sur Twitter pour dénoncer la brutalité et le sexisme de certains professionnels. Cette lectrice leur répond avec un brin de fatalisme.
Patience ! Toutes ces « mémères à frottis », comme je l'ai lu un jour, auront en effet disparu dans moins de 10 ans ! La pilule sera alors peut-être distribuée dans les centres Leclerc, les frottis seront envoyés par la poste (écouvillons à se mettre dans le vagin pour dépister ce vilain petit virus HPV qui, lui, sera toujours là !), les convocations mammo itou...
En cas de problème plus complexe, il faudra se rendre dans le centre hospitalier le plus proche (50 km en moyenne), puisque les médecins (le peu qui en restera) sont en général assez mal formés pour la pratique gynécologique, et après plusieurs mois d'attente, il y aura intérêt à ne pas se présenter à la consultation avec ses ragnagnas !
Posté le 21 novembre 2014 par le Dr I. G..Voir tous les commentaires sur le sujet : « #PayeTonUterus, le buzz qui s'attaque aux gynécologues ».
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