Menée au cours du mois de février 2001 à partir de 480 questionnaires envoyés à des gynécologues libéraux (en majorité des femmes), l'enquête des Laboratoires GGAM a recueilli 220 réponses.
Des résultats il ressort, en premier lieu, que le droit de substitution du pharmacien « fait son chemin », puisque 56 % des médecins interrogés y sont favorables, à condition de respecter la bioéquivalence entre les produits. Le médicament générique, aux yeux des médecins interrogés, est perçu comme lié à l'échéance du brevet (29,8 %) et comme un bénéfice économique (37,2 %). Ce dernier point se retrouve au moment de la prescription avec une vigilance particulière du coût de l'ordonnance (pour 53,3 % des prescripteurs). Dans 70 % des réponses, la prescription d'un médicament générique est envisagée, qu'il soit sous un nom de fantaisie ou en DCI. Néanmoins, il apparaît que huit prescripteurs sur dix préfèrent la prescription d'un générique en DCI, que ce soit pour les domaines thérapeutiques usuels ou pour le THS. La prescription d'un patch à l'estradiol en DCI est possible pour 53 % des médecins interrogés (à gamme équivalente).
Deux dosages : 50 et 100 ug/24 heures
Le dispositif Estradiol GGAM est le premier patch en DCI, indiqué dans les carences estrogéniques liées à la ménopause. Proposé en deux dosages (Estradiol GGAM 50 ug/24 heures et 100 ug/24 heures), présenté en sachets individuels par boîte de 8 (au prix de 42,60 F), ce patch matriciel allie efficacité et tolérance. En évitant l'effet métabolique du premier passage hépatique, il supprime les difficultés d'absorption, les intolérances digestives. Ce dispositif très discret, constitué d'une matrice polymérique ultrafine (0,1 mm d'épaisseur) très souple, doté d'une bonne adhérence et d'une excellente tolérance cutanée, permet une substitution physiologique et continue d'estradiol. La concentration sérique optimale est atteinte dès la 4e heure après l'application.
Estradiol GGAM, qui n'est pas inscrit au répertoire des médicaments génériques, permet « d'adapter et d'individualiser le traitement hormonal substitutif, véritables gages d'observance et de réussite tant pour le professionnel de la santé que pour la patiente ».
* Conférence de presse des Laboratoires GGAM avec la participation des Drs H. Rozenbaum, gynécologue, président de l'AFEM et Ch. Lafforgue, dermatologue.
Trois réunions d'actualité
Très engagés dans le domaine du THS, les Laboratoires GGAM organisent avec l'UTIP Ile-de-France trois réunions sur le thème « Traitement hormonal substitutif et ménopause. Actualités ». Animées par le Pr A. Tamborini, gynécologue, elles réuniront des gynécologues et des pharmaciens le jeudi 11 octobre 2001 au Novotel Vaugirard (75015 Paris), le jeudi 25 octobre 2001 au Novotel Versailles-Le Chesnay (78150) et le 15 novembre au Saphir Hôtel à Pontault-Combault (77340).
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