Une lettre détaillant les raisons de l'arrêt de l'essai de thérapie génique lancé par Alain Fischer et Marina Cavazzano-Calvo sur des enfants souffrant d'un déficit immunitaire sévère lié à l'X (SCID-X) paraît cette semaine dans le « New England Journal of Medecine ».
Comme nous l'avions rapporté, notamment dans le « Quotidien » du 6 janvier 2003, il a été récemment détecté une prolifération monoclonale de cellules T chez un des quatre enfants traités pourtant avec succès. Cette prolifération est probablement la conséquence d'un événement de mutagenèse insertionnelle associé au transfert de gène sur lequel se fonde le protocole de thérapie génique employé pour soigner ces enfants.
NEJM du 16 janvier 2003, vol. 348, p.255.
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