Les enjeux de l’équilibre Omega 6/Omega 3 sont multiples : risque athérogène (si le rapport est trop élevé), insulinorésistance (en prenant des huiles et des margarines dites diététiques), protection de l’œil, des fonctions cognitives et même modulation du risque cancérigène. « Mais restons modeste, explique Anne-Marie Roussel, ce sont surtout les études animales qui existent mais il n’y a pas d’étude d’intervention. ». Il y a donc des pistes mais pas de preuves, et les mécanismes ne sont pas élucidés. Mais la piste mérite sans doute plus d’attention que ce qu’on lui a accordé jusqu’ici (à l’exception notable de David Servan Schreiber**) Quoi qu’il en soit les choses s’améliorent semble-t-il puisque le rapport Omega6/Omega 3 était de 11 dans l’étude SUVIMAX. C’est tout de même encore le double de l’ANC ! De même certaines margarines telles que Fruit d’or pro-activ ont un rapport Omega 6/Omega 3 de 174 ( !) alors qu’il en existe dont le rapport est autour de 4 (Fruit d’or Omega 3, St-Hubert Omega 3, Primevère tartine…).
Sur la piste de Servan-Schreiber
Publié le 10/04/2009
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Source : Le Généraliste: 2485
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