Si se substituer à nous, médecins, contre rémunération pour certains diagnostics courants fait piaffer d'impatience quelques pharmaciens, pour leur éviter de rester trop tard le soir dans leurs officines je suggère cette possibilité : mettre à notre disposition une cinquantaine de «?bons génériques incontournables?» que nous pourrions délivrer directement, moyennant finances, et faire de nous de nouveaux « propharmaciens » . Voilà une bonne piste pour améliorer notre ordinaire
en coiffant les deux casquettes !
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