Alors qu'un amendement au Projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2003 (PLFSS) revoit les conditions d'exercice de l'activité libérale à l'hôpital (« le Quotidien » du 5 novembre), le Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes-réanimateurs (SNPHAR) « dénonce cette exception française unique en Europe, qui permet à un praticien hospitalier (PH) exerçant une activité privée à l'hôpital de continuer à percevoir de façon concomitante à ses honoraires les émoluments hospitaliers des deux demi-journées pendant lesquelles son activité est privée ». Selon les calculs du SNPHAR, cette « double rémunération » représente 200 000 journées de travail de PH à temps plein : « 60 millions d'euros », assène le syndicat. Sa suppression, continue-t-il, assurerait non seulement « la transparence » du système mais permettrait la création de « 600 postes de PH ».
Secteur privé à l'hôpital : une source d'économie, selon le SNPHAR
Publié le 20/11/2002
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7223
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