Les orateurs ont rappelé que, depuis 1992, la gamme Amlor, un inhibiteur calcique appartenant à la famille des dihydropyrines, permet d'adapter le traitement à tous les profils d'hypertendus, d'atteindre les objectifs recommandés par l'ANAES et l'Organisation mondiale de la santé, d'autant plus que, grâce à son administration, - et, ce quel que soit le degré d'altération de la fonction ventriculaire gauche -, il peut être associé, avec les précautions d'usage, à toute autre classe d'antihypertenseurs. Bien que commercialisé depuis dix ans, Amlor continue de prouver son efficacité. Les nombreuses études (déjà plus de 400, incluant des milliers de patients) et de grands essais internationaux se poursuivent pour accumuler le plus de preuves médicales sur son efficacité dans l'HTA, l'angor..., pour mieux répondre à l'évolution des stratégies de prise en charge globale des patients hypertendus, à risque cardio-vasculaire identifié, pour établir des politiques de prévention cohérente et précoce pour limiter le nombre des accidents vasculaires cérébraux, des infarctus...
Tahor, une statine, le « petit dernier », qui n'a que 5 ans, fait déjà ses preuves dans le traitement de l'hypercholestérolémie. Il s'inscrit parfaitement dans cette politique de prise en charge globale du risque cardio-vasculaire. Au-delà des corrections lipidiques, cette molécule (atorvastatine) s'est montrée, à travers de récents essais internationaux, capable de stabiliser les lésions athéromateuses, l'un des objectifs majeurs pour réduire le nombre des AVC et des infarctus du myocarde.
L'information du patient
Une large place a été dédiée à la communication directe vers le patient, tels les spots télévisés récemment diffusés par Pfizer en partenariat avec l'ARCOL, sur la nécessité de la surveillance des taux de cholestérol. Les « retombées » de cette campagne d'un nouveau genre en France n'ont pas été encore évaluées.
Enfin, les Laboratoires Pfizer se sont félicités des partenariats développés avec les sociétés savantes (Société française de cardiologie, Société d'HTA, CNCF, l'UNAFORMEC, avec la présence du Dr Ph. Bonet) qui permettent d'être « optimiste dans la prise en charge du risque cardio-vasculaire » par une meilleure information des médecins généralistes sur les traitements à prescrire, et par une information vers le grand public, l'un « des facteurs clés pour optimiser la prise en charge du risque cardio-vasculaire », a souligné G. Bouquet (Pfizer France).
En vue, une combinaison synergique
Pour l'avenir, les Laboratoires Pfizer, dans le domaine cardio-vasculaire, ont des projets de médicaments en cours, notamment une combinaison Amlor-Tahor, développée suivant une voie originale, ne se résumant pas à la simple association des deux molécules, mais jouant sur une combinaison synergique des deux produits pour une amélioration de la prise en charge globale du risque cardio-vasculaire. Autre projet qui devrait voir le jour en 2008, une molécule prenant en charge toutes les dyslipidémies, agissant sur l'augmentation du HDL cholestérol et l'abaissement du LDL cholestérol. Ainsi, Pfizer « confirme sa dynamique de progrès permanent au service des médecins et des patients » et son rôle de partenaire de santé pour permettre de « vivre mieux en vieillissant ».
D'après un symposium organisé par les Laboratoires Pfizer avec pour intervenants M. Soren Celinder (président de Pfizer France), le Pr Puel, le Pr C. Spaulding, le Dr Pitois-Merli (Pfizer), le Pr X. Girerd, le Pr M. Pinet, le Dr Bonet, le Pr Consoli, M. G. Bouquet (Pfizer), Mme Sauret (Agence Verte), le Pr Komajda, le Pr Thuillez, le Dr Jullien, M. F. Ebrard, directeur marketing cardio-vasculaire Pfizer France.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature