Le premier médicament résultant de la connaissance physiopathologique d’une maladie fut l’insuline en 1921 bientôt suivi des vitamines, des hormones, des antibiotiques avec un excellent niveau de preuve à court terme. Puis l’empirisme a disparu pour laisser sa place à deux niveaux de preuve, le niveau théorique et le niveau statistique. Et, aujourd’hui, un médicament peut avoir une base théorique brillante et être dépourvu de tout effet clinique. L’auteur des « humeurs médicales » s’interroge : comment les agences du médicament peuvent à ce point oublier la preuve clinique…
Sur le blog de Luc Perino
Revenir à la preuve clinique
Publié le 13/02/2015
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Source : Le Généraliste: 2709
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