Le médecin vendéen qui s'est suicidé le 30 mai dernier après avoir, selon toute vraisemblance, tué ses quatre enfants et son épouse, était sous antidépresseur au moment du drame, ont indiqué vendredi les enquêteurs sans vouloir se prononcer sur l'influence possible du médicament. Les analyses toxicologiques montrent la présence de sertraline, a déclaré le procureur de la République de La Roche-sur-Yon, Xavier Pavageau. Elles montrent aussi qu'il n'y a pas eu surmédication, ni consommation excessive, a-t-il ajouté. Après le drame, des anxiolytiques et de la morphine avaient été trouvés dans ses poches et dans l'armoire à pharmacie, raison pour laquelle des analyses toxicologiques ont été ordonnées. Les analyses ont aussi permis de détecter la présence d'anxiolytiques chez deux des enfants, «un médicament qui n'est pas réputé pour ses effets de somnifères», a indiqué le procureur.
Résultats positifs des analyses toxicologiques dans le drame de Pouzauges
Publié le 05/07/2010
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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