La lipolyse a vécu. Par un décret publié mardi au JO, le ministère de la Santé vient d’interdire tous les actes de lyse adipocytaire (ou lipolyse) à visée amincissante, proposés en alternative aux méthodes chirurgicales. Cette mesure fait suite à un avis de la HAS faisant état « de complications à l’origine de séquelles graves identifiées chez plusieurs patients ». Elle s’applique aux techniques invasives (carboxythérapie, laser transcutané sans aspiration et injections de produits lypolitiques ou de mélanges mésothérapeutiques) qui "présentent un danger grave pour la santé humaine" selon la HAS. Les techniques externes non-invasives (ultrasons focalisés, radiofréquence, laser...) sont également concernées, en raison d’une « suspicion
de danger grave ».
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