La principale association médicale de Corée, la KMA, vient d'adopter un nouveau code de conduite plus ouvert qu'auparavant. Désormais, certains actes sont autorisés, comme le refus d'administrer des médicaments curatifs à des malades en fin de vie, le prélèvement d'organes sur des patients cliniquement morts, ou encore les avortements. Seules conditions à remplir, l'accord des familles et l'information des patients concernés. L'application de cette nouvelle éthique ne sera pas aisée au départ, car les recommandations vont à l'encontre de la loi coréenne. Mais on est confiant à la KMA. Ses 64 000 adhérents, soit 80 % des praticiens du pays, comptent bien faire pression sur l'opinion publique.
Réforme du code de conduite médical en Corée du Sud
Publié le 18/11/2001
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 7012
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature