Le DMP a déjà englouti 74 millions d’euros sur trois ans et 44 millions sont prévus pour l’année 2009. En rythme de croisière, le budget devrait tourner autour de 100 millions d’euros pas an. Mais contrairement à son prédecesseur et père du DMP, Philippe Douste-Blazy, Roselyne Bachelot n’envisage pas le DMP comme « un outil de maîtrise des dépenses ». « Il ne doit y avoir aucune ambiguïté sur la nature réelle du DMP : il est d’abord et avant tout un grand projet de santé publique au service de la santé de nos concitoyens ». Le directeur de l’Assurance Maladie est sur la même ligne. « Le DMP est d’abord un outil de transparence et de qualité, a indiqué Frédéric van Roekeghem. Mais, comme souvent, quand on améliore la qualité, on améliore souvent l’efficience ».
Quel coût pour quels bénéfices ?
Publié le 17/04/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2486
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature