Les maires PS et présidents des Centres hospitaliers universitaires (CHU) de Lille, Amiens, Rouen et Caen ont dénoncé vendredi 30 juillet dans un communiqué les inégalités qu'ils subissent quant à l'évolution du nombre d'internes en médecine pour la période 2010/2014. Selon les élus, alors que le gouvernement vient d'arrêter une hausse importante du nombre d'internes (38.500 sur cinq ans), le taux d'augmentation des internes atteint 46,2% en Ile-de-France, 58,74% pour la région sud (Montpellier Aix Marseille Nice), contre 0,41% seulement pour la grande région Nord-Ouest qui comprend leurs quatre villes. "Cette répartition ne répond pas aux objectifs affichés dans la loi Bachelot (...) de réduire les inégalités territoriales", dénoncent Martine Aubry, Gilles Demailly, Valérie Fourneyron et Philippe Duron. "Cette situation est d'autant plus inquiétante que nos territoires sont dores et déjà affectés par des phénomènes de désertification médicale et sont marqués par des indicateurs de surmortalité et de précarité supérieurs à la moyenne nationale", ajoutent les quatre maires.
Quatre maires socialistes du Nord ouest dénoncent la répartition des postes d’internes
Publié le 31/07/2010
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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