Le métier de candidat à l'élection présidentielle est un art difficile. Il exige que l'on prenne en compte l'intérêt national mais, aussi, que l'on réponde aux interpellations de chaque catégorie d'électeurs, que l'on se prononce sur chacune des revendications formulées, que l'on ne laisse aucune lettre et aucun e-mail, ou presque aucun, sans réponse, que l'on ait, sur tout et n'importe quoi, une opinion et si possible avisée.
Ni la chasse à la palombe, ni l'avenir de l'industrie lainière, ni les brevets de jouets, ni le sort de l'aviation de combat pour ne pas parler de celui d'Airlib ne peut vous indifférer.
Cet exercice recèle mille et une embûches et tend de redoutables pièges. Noël Mamère vient d'en faire l'expérience. Dans une lettre adressée à Claude Maffioli, président de la CSMF, le candidat des Verts indique entre autres : « L'option conventionnelle que votre syndicat a mise en œuvre avec les caisses d'assurance-maladie en faveur du système du médecin référent mérite d'être soutenue et développée. » Erreur d'un conseiller ? Confusion fatale entre les syndicats ? Toujours est-il que c'est bien MG-France qui a soutenu l'option médecin référent et que la CSMF s'y est toujours opposée.
Quand Mamère se trompe de syndicat
Publié le 04/02/2002
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
B. K.
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 7059
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature