La Société française de psycho-oncologie (association psychologie et cancer) vient de créer dans les Bouches-du-Rhône une nouvelle antenne départementale sous la présidence du Pr Robert Fresco, assisté, entre autres, des Drs Jean Campocasso, Sylvianne Muselier et Lucien Piana*.
Cette association a pour but l'étude des problèmes psychologiques en rapport avec les cancers, l'information, la sensibilisation et la formation des soignants et des personnels à ces problèmes, ainsi que l'aide psycho-sociale, relationnelle et humaine aux malades et à leurs familles. « Nous voulons réaliser une nécessaire ouverture à tous les acteurs de la maladie cancéreuse, y compris le malade et sa famille », expliquent les responsables de cette antenne, qui ont déjà programmé un certain nombre de manifestations :
- un forum sur « la sexualité après cancer », le 4 avril à 20 h à Manosque (foyer des Quintrands) ;
- des réunions thématiques tous les deux mois, la première étant prévue le 26 mars à la clinique Mon Repos (67, bd Léau, 13008 Marseille), sur « stress et détresse face au cancer » ;
- des réunions de groupe mensuelles, d'inspiration Balint, mises en place au siège de l'association, sur réservation téléphonique à partir du 7 avril, 15 heures pour les patients et leur entourage (la première aura lieu le 9 avril à 18 h 30) et pour les médecins et soignants (la première le 30 avril à 18 h 30) ;
- des formations s'adressant à tous les acteurs de la maladie seront mises en place successivement, selon les disponibilités financières de l'association, qui lance pour cela un appel à la générosité pour « lutter tous ensemble contre la détresse-cancer ».
SFPO, 1, bd Longchamp, 13001 Marseille, tél. 04.91.62.34.33, fax 04.91.50.58.02, e-mail robert.fresco@free.fr.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature