L'Intersyndicat national des praticiens hospitaliers (INPH) et le Syndicat national des cadres hospitaliers (SNCH) s'engagent « dans un processus de rupture en réponse aux provocations » du gouvernement.
Selon ces deux syndicats, le malaise exprimé par les professionnels de santé libéraux « ne doit pas faire oublier à Mme Guigou et à M. Kouchner que les protocoles signés en mars 2000 et en octobre 2001 (pour l'hôpital), pour insuffisants qu'ils soient, n'en méritent pas moins d'être appliqués strictement ».
L'INPH et le SNCH dénoncent par ailleurs comme une provocation « l'annonce de la reconnaissance de la spécificité des urgentistes [par la création d'un comité national ad hoc, NDLR] alors que l'urgence doit être l'affaire de l'ensemble de la communauté hospitalière et des acteurs de santé ».
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature