L'opposant tunisien Moncef Marzouki a été condamné à un an de prison avec sursis par la cour d'appel de Tunis. Le verdict commue ainsi en sursis l'incarcération ferme réclamée en première instance en décembre 2000. Malgré cet allégement de peine, Moncef Marzouki, sous le coup d'une interdiction de voyager, reste déchu de ses droits civiques. Le Dr Marzouki, 55 ans, membre fondateur du Conseil national pour les libertés en Tunisie (CNLT) est poursuivi depuis des années pour « appartenance à une association illégale », le CNLT, et pour « diffusion de fausses nouvelles de nature à troubler l'ordre public ». Ancien président de la Ligue tunisienne des droits de l'homme, il a été licencié, par ailleurs, de son emploi de professeur de médecine à la faculté de Sousse, pour « abandon de poste », selon les autorités.
Prison avec sursis pour le Dr Marzouki
Publié le 02/10/2001
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 6980
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature