L'équipe du service de rhumatologie du CHU de Nancy a réalisé une revue de la littérature à propos des complications des infiltrations cortisoniques. Sept études rétrospectives ont été retenues.
Hier comme aujourd'hui, le germe est le plus fréquemment retrouvé est le staphylocoque, qui explique 70 % des sepsis postinfiltration. La fréquence de ces infections a cependant diminué : 1/7 000 en 1960, 1/100 000 en 2002. Une asepsie rigoureuse (désinfection des mains du praticien et de la peau du patient) et l'utilisation de matériel jetable ont réduit le risque. L'âge du praticien intervient également : le risque d'infection semble plus faible chez les praticiens les plus âgés.
Batôt et coll.
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