Opposée au taux d'évolution des dépenses de soins de ville (3 %) prévu dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, l'Union nationale des omnipraticiens français (UNOF, qui regroupe les généralistes de la CSMF), a annoncé qu'elle « ne restera pas les bras croisés » et qu'elle déterminera les modalités de sa « riposte » lors de son prochain comité directeur du 6 octobre. L'UNOF estime notamment qu'en proposant une augmentation de 3 % des dépenses de soins de ville et de 4,8 % des dépenses d'hospitalisation publique, « le gouvernement fait un choix politique fort : celui de privilégier l'hôpital public au détriment de la médecine libérale ». Le syndicat des généralistes souligne, par ailleurs, que le taux retenu « compromet gravement toute revalorisation significative des honoraires médicaux, en particulier ceux des médecins de famille déjà particulièrement sinistrés (115 F pour une consultation depuis avril 1998 et 20 F de plus pour une visite non revalorisée depuis 1994) ».
PLFSS : l'UNOF annonce une riposte
Publié le 30/09/2001
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6978
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