Selon une étude belge, « lorsqu’un patient cancéreux se présente aux urgences, il doit être pris en charge sans préjugé face à son pronostic. Il présente le plus souvent une pathologie curable ou contrôlable, même lorsqu’il existe un rapport avec sa néoplasie ». Il est vrai que l’admission aux urgences pose un problème éthique sur un éventuel acharnement thérapeutique. Or ce travail montre que 55 % patients sont admis pour une pathologie distincte du cancer. L’hospitalisation concerne 57 % avec une mortalité faible de 6%. Lorsque l’affection est lié au cancer, l’hospitalisation est presque toujours la règle mais les motifs de consultation sont gérables (insuffisance d’antalgie, dyspnée ou fièvre)
Pas de défaitisme devant un cancer
Publié le 12/06/2009
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Source : Le Généraliste: 2492
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