Mauvaise identification du patient, erreurs de diagnostic, problèmes liés au traitement médicamenteux, erreurs d'examen complémentaire... Le dernier BEH (bulletin épidémiologique hebdomadaire) recense les événements indésirables associés aux soins (EIAS) en médecine générale.
Selon cette étude (Esprit 2013) qui a impliqué 120 généralistes, sur 649 journées, près de 2,6 % des actes réalisés sont associés à des EIAS (sans conséquence pour le patient). Parmi eux, environ 86 % seraient évitables.
Quelles en sont les causes ? En général, ils trouvent leur source dans les problèmes d’organisation du cabinet (défaut de disponibilité du MG, erreur d’enregistrement des dossiers, d’identification des patients ou de gestion de rendez-vous et messages), de communication entre professionnels mais aussi dans les défauts de connaissance ou de compétence des MG, notamment dans le traitement médicamenteux.
Les événements indésirables sont-ils plus nombreux qu’avant ? Quelles en sont les causes ? Peut-on les éviter et comment ?
À vous de débattre...
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature