Quand j'étais interne en cardiologie, j'ai pris en charge un patient hospitalisé pour un syndrome coronarien aigu (SCA). Son hospitalisation avait duré environ 4-5 jours et s'était très bien déroulée.
Le jour de sa sortie, le patient demande à me voir car il avait une question sur une des mes recommandations qui l'inquiétait au plus au point. Effectivement, ce dernier m'annonce qu'il est un « très grand amateur » de films pornographiques et me demande s'il a encore le droit d'en visionner compte tenu de sa pathologie cardiaque.
Tout en me précisant qu'il ne les visionne jamais sans faire une activité « annexe et concomitante » avec pour conséquence une augmentation rapide de la fréquence cardiaque.
Je lui ai dis que je ne voyais pas de contre-indication à une reprise « progressive et raisonnable » de l'effort cardiaque et qu'elle pourrait s'intégrer au programme de rééducation cardiovasculaire.
Il m'a pris dans ses bras pour me remercier...
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