Les poissons riches en oméga 3 sont bons pour le cœur, mais jusqu’à un certain point seulement. Une étude présentée à EHRA EUROPACE (Société Européenne de Cardiologie, Athènes) trouve que l’association entre la consommation des omégas 3 et le risque de développer une fibrillation auriculaire suit une courbe en J. Dans cette étude danoise (Thomas Rix et al.), riche de 57 000 participants qui ont rempli des questionnaires à diverses reprises sur 13 ans, le risque de FA est réduit de 13 % pour une consommation modérée d’acides gras polyinsaturés marins, mais il s’accroît chez les gros mangeurs de saumon et autres poissons gras (+ 3 %). La réduction de fréquence des FA se relie à la réduction des cardiopathies ischémiques et à des effets anti-inflammatoires. Mais l’augmentation du risque de FA chez les sujets dans le quintile des plus grands consommateurs d’acides gras marins est plus difficile à expliquer.
Oméga 3 et fibrillation auriculaire : une courbe en J
Publié le 26/06/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Dr BÉ. V.
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature