Depuis cinq ans, « le Quotidien » propose à ses lecteurs golfeurs de participer à un tournoi national dans de très nombreux golfs de nos régions. La phase finale se déroule au Maroc, soit à Marrakech, soit à Agadir. Cette compétition a pris le nom de Trophée Royal Air Maroc en raison des facilités et des conditions particulières que nous offre cette compagnie amie pour nous faire voyager. Nous la remercions, en particulier, d'avoir accepté de transporter gratuitement les sacs de golf des compétiteurs. Et cela n'est pas rien, puisque ce sont environ dix tonnes de matériel que les avions devront transporter en supplément.
Cette année, c'est décidé, nous irons tous à Agadir, et nous serons hébergés dans un hôtel tout neuf, le Palais des Roses, où l'on nous a promis de mettre les petits plats dans les grands. Un grand jardin ouvert sur la mer, une étonnante piscine lagon à trois niveaux, une plage privée et un centre de thalassothérapie, où l'on envisage de nous remettre en forme pour l'hiver à venir, nous attendent pour nous permettre de passer la semaine la plus agréable qu'il soit.
Les salons de l'hôtel, ses bars, ses restaurants, son café maure et ses narghilés, ses boutiques sont particulièrement accueillants et permettront à chacun de trouver son lieu de détente privilégié.
Les trois golfs d'Agadir auront un bureau d'accueil à l'hôtel leur permettant de proposer des réservations pour les parties libres. Une agence proposera des excursions ainsi que la location de véhicules et un bureau de change sera ouvert sur place.
A partir de l'hôtel, des navettes permettront aux golfeurs de rejoindre leur parcours et d'en revenir tout au long de la journée, et pendant toute la semaine. Devant la porte, des petits taxis qui circulent en permanence seront toujours prêts, quelle que soit l'heure, à vous conduire en centre-ville ou vers la destination de votre choix.
Le personnel de l'hôtel est, à l'image du Maroc et des Marocains, souriant et disponible. Il perpétue ainsi sur le plan hôtelier la tradition d'hospitalité que chacun, dans ce pays, a depuis toujours ancrée au fond de lui et instituée dans sa propre maison.
Le Palais des Roses joue dans la cour des « grands », mais refuse l'exhibitionnisme. Il a même su conserver, malgré ses dimensions, un caractère curieusement intime. Il restera longtemps, nous en sommes sûrs, dans la mémoire de ceux qui auront la chance d'y être avec nous en octobre prochain.
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