Merci pour la publication de cette lettre (« le Quotidien » du 8 février), admirable de réalisme, de vérité, de sincérité, et d'émotions, toutes qualités plus absentes les unes que les autres (de la majorité) des autorités de tutelle…
J’apporte tout mon soutien, toute ma solidarité et toute ma confraternité, à l'auteur de ces lignes magnifiquement écrites.
Il (ou elle) a tellement raison…
Me concernant, pour des raisons finalement proches, j'ai définitivement dévissé ma plaque de généraliste de banlieue après 27 ans d'exercice, puis j'ai appris un nouveau métier (formation de formateurs, outils de communication, gestion du stress, gestion des émotions, prévention du burn-out, outils de management, etc., que je transmets et enseigne en entreprises, mais très rarement en entreprises de santé, à savoir hôpitaux et cliniques… Révélateur ???).
Bien confraternellement aux confrères et consœurs, inclus bien sûr les internes des hôpitaux,
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature