LES INDUSTRIES européennes de la chimie (Cefic), des cosmétiques (Colipa), des savons et détergents (Aise), de la pharmacie (Efpia), la recherche agricole (Ecpa), ainsi que l'association européenne des bio-industries (Europabio) ont signé avec la Commission européenne un partenariat européen « visant à réviser, réduire ou remplacer le recours aux animaux ». « Nous souhaitons non seulement réduire les tests sur les animaux, mais aussi y mettre fin à long terme », a déclaré le commissaire à l'industrie Günter Verheugen.
Selon Bruxelles, la mise au point de nouvelles méthodes devraient permettre non seulement de réduire les tests sur les animaux, mais aussi d'améliorer la compétitivité des entreprises européennes. Au premier trimestre 2006, un groupe de travail devrait proposer des solutions en vue de promouvoir la validation de méthodes alternatives.
Quelque 10,7 millions d'animaux ont été utilisés en 2002 pour des expériences, dont plus de 50 % pour la recherche et le développement en médecine humaine, indique la commission, qui souligne toutefois que « le passage à de nouvelles évaluations de la sécurité ne doit pas porter atteinte aux normes de protection élevée des consommateurs, des travailleurs et des malades ». Les tests sur les animaux devraient donc rester encore longtemps nécessaires dans le domaine des produits pharmaceutiques, de l'alimentation humaine et animale, des produits chimiques et cosmétiques, des dispositifs médicaux ou encore des biotechnologies.
Chimie, cosmétique, pharmacie
Moins de tests sur les animaux
Publié le 09/11/2005
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7840
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