Nous connaissions déjà le travail qu’avait effectué George Steinmetz en Afrique. À bord d’un engin volant non identifié, sorte de parachute motorisé, il avait shooté le continent africain d’Est en Ouest, et du Nord au Sud, pour en retirer la substantifique moelle, dans un livre de photographies époustouflantes, African Air. George Steinmetz qui, en vingt-cinq ans de carrière a remporté deux premiers prix World press photo, a récidivé, en s’attaquant au Rub’ Al-Khali, le « désert des déserts », la plus grande étendue de sable inhabitée. Situé en Arabie Saoudite, étendu sur plus de 650 000 km2, le Rub’ Al-Khali signifie littéralement « le quart vide ». Objet de fascination et de crainte, un périple en son sein est considéré comme le voyage ultime des aventuriers confirmés. Marchant dans les pas de Wilfred Thesiger, qui a deux reprises, dans les années quarante, a traversé Rub’ Al-Khali, George Steinmetz ramène avec lui une collection de clichés aussi inouïs qu’uniques.
Désert
Mirages d’Arabie
Publié le 19/12/2009
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Mirages d’Arabie. Voyage dans le désert Rub’ Al-Khali. Éditions de la Martinière. 39 euros.
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Source : Décision Santé: 260
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