« Après ce premier tour, il s’agit maintenant de départager François Hollande de Nicolas Sarkozy, dont les praticiens hospitaliers (PH) connaissent bien la politique hospitalière. Nous n’avons été ni écoutés, ni entendus sous ce quinquennat qui a insufflé une politique de désintérêt quand elle n’a pas été de défiance à l’égard des PH, notamment en ce qui concerne leur indépendance d’exercice, leur place et leur rôle au sein de l’organisation hospitalière, l’amélioration de leur dispositif statutaire. La défense du service public n’a pas été à la hauteur de nos attentes. La Coordination médicale hospitalière (CPH) attend du futur président la mise en place du dialogue social dont nous avons été privés ces dernières années. »
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