L’UMESPE (la branche spécialiste de la CSMF) suit avec attention la mise en place des nouveaux contrats de permanence des soins dans les établissements privés. Le syndicat déplore avoir été, au sein des URPS, « le plus souvent seul pour mener ce combat essentiel pour l’avenir de la médecine libérale, face à la volonté hégémonique de la Fédération hospitalière de France et des hôpitaux publics ».
L’UMESPE se félicite néanmoins que la pénibilité imposée à des spécialités telles que la radiologie, l’hépatogastroentérologie et la cardiologie soit reconnue « mais regrette que tous les praticiens mobilisés par ces missions d’astreintes ne soient pas justement indemnisés ». Elle demande en conséquence aux CME (commissions médicales d’établissement) de veiller à la mise en place de ce nouveau système.
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