Livial comprimés de 2,5 mg (tibolone)* est indiqué en première intention et en monothérapie dans le traitement des symptômes liés à la ménopause : troubles vasomoteurs (bouffées de chaleur et sueurs nocturnes), troubles trophiques génito-urinaires (atrophie vulvovaginale, dyspareunie, incontinence urinaire), troubles psychiques (troubles du sommeil, asthénie). Avant de débuter un traitement hormonal substitutif (THS) de la ménopause avec Livial comme avec un THS classique, il est indispensable de respecter les contre-indications et précautions d'emploi.
La posologie recommandée est de un comprimé chaque jour, sans interruption.
En cas de relais d'un THS séquentiel, Livial devra être commencé après la fin de la phase progestative. En cas de relais d'un THS combiné continu, Livial pourra être commencé à n'importe quel moment.
Après administration orale, la tibolone est rapidement métabolisée en 3 composants, chacun ayant une affinité spécifique : deux métabolites ont une activité estrogénique, le 3e et la tibolone elle-même ayant une activité progestative et modérément androgénique.
Les effets estrogéniques améliorent les symptômes climatériques et génito-urinaires. Par ses effets progestatifs, la tibolone n'induit pas de prolifération endométriale. La tolérance mammaire est bonne. Par ses effets androgéniques, Livial peut agir favorablement sur l'humeur et la libido.
Livial a également des effets sur le métabolisme lipidique (baisse du cholestérol total et du HDL cholestérol et des triglycérides) et entraîne une augmentation de l'activité fibrinolytique sanguine. Livial a aussi des effets sur la réduction de la perte osseuse postménopausique.
* Laboratoires Organon. Boîte contenant une plaquette de 28 comprimés. Non remboursé par la Sécurité sociale.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature