L'UMESPE, la branche spécialiste de la Confédération des syndicats médicaux français (Csmf), « déplore que l'ensemble des accords résultant de la convention médicale, signée le 12 janvier, n'ait pas été finalisé à ce jour ». Cela concerne notamment l' « accès spécifique des psychiatres, neuropsychiatres, neurologues, ophtalmologue et gynécologues, (et le) secteur optionnel ». Le syndicat souligne, en effet, que « si les Français ont adhéré massivement à la notion de médecin traitant (72 % de déclarations à ce jour), ils restent attachés à la possibilité d'avoir un accès direct aux médecins spécialistes de leur choix ».
L'Umespe-Csmf affirme « ne pas comprendre le harcèlement des caisses d'assurance-maladie vis-à-vis des médecins spécialistes », par des « refus de majorations de coordination des soins » et des « refus du dépassement autorisé pour les gynécologues médicaux, les ophtalmologues » en dehors des actes en accès spécifique prévus par la convention.
En conséquence, cette organisation « demande d'urgence la clarification des interprétations locales par un accord national sur le texte conventionnel et la mise en place de tous les outils consécutives à la convention ».
« En l'absence de réponse positive et rapide », l'Umespe menace de « suspendre (sa) participation aux instances conventionnelles locales ».
Chantier conventionnel
L'impatience de l'Umespe
Publié le 27/10/2005
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7832
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