Mal remboursés par l'Assurance maladie, les soins dentaires font souvent l'objet de « pratiques tarifaires excessives » voire de « dérives inacceptables », accuse "60 millions de consommateurs". Selon une étude réalisée par le mensuel, après une visite chez le dentiste, la somme qui reste à la charge du patient constitue la « principale raison de renoncement aux soins auquel déclare être confronté près du tiers des consommateurs », relève l’étude. Et même après l'intervention des complémentaires santé, ce reste à charge reste « élevé ». Principaux soins incriminés : les prothèses. Après remboursement de la Sécu, le patient doit débourser plus de 290 euros en moyenne. Pour la pose d'un implant, peu remboursé, le coût moyen est supérieur à 2 000 euros. Plus grave, il existe parfois des solutions moins onéreuses mais peu retenues par les dentistes. La reconstitution "au fauteuil", présente l'avantage d'être moins chère car elle est fabriquée par le dentiste à un prix fixé par la Sécu : 79,53 euros, soit 24 euros restant pour l'assuré.
Les soins dentaires font l’objet de dérives tarifaires
Publié le 25/11/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature