Les pharmaciens peuvent continuer à vendre des lunettes prémontées ou « porte-loupes », selon une décision de la Cour de cassation. Vingt-neuf pharmaciens parisiens avaient été assignés en justice par le Syndicat des opticiens français indépendants. Dans un premier temps, la cour d'appel avait donné raison aux opticiens en estimant qu'il n'y avait pas de différence entre les lunettes destinées à corriger l'astigmatie, l'hypermétropie et la myopie et celles pour la presbytie. La Cour de cassation a jugé pour sa part que le code de la santé publique ne réservait aux seuls opticiens que la vente des lunettes destinées à corriger un défaut de l'oeil et non celles permettant de corriger le défaut d'accommodation dû à la vieillesse.
Les pharmaciens peuvent vendre des lunettes-loupes
Publié le 03/03/2003
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7286
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